Eva, c’est moi !

J’adore qu’on me raconte des histoires, et peut-être plus encore en raconter. Je crois au pouvoir des mots. En fait, je crois qu’ils peuvent aider les gens à se sentir bien. Ou au moins mieux.

Je crois qu’un bon livre est la solution à de nombreux problèmes, qu’un sourire peut changer le monde, qu’all you need is love, et que le meilleur reste à venir.

Je pense que tous les matins devraient commencer avec un café au calme, et tous les soirs se terminer avec un mot doux.

Je suis fière de moi quand je vais au bout de ce que j’entreprends, et je m’énerve toute seule quand je réfléchis trop. (Mais j’y travaille. Moins de jus de cerveau, plus d’instinct.)

Je suis au régime sec concernant les infos, ça fait un moment que ça dure, et ça va très bien, merci.

Mes superpouvoirs ? Dévorer des pavés de 500 pages à la vitesse de l’éclair, danser comme Carlton Banks, une soif inextinguible de connaissances, une bonne dose d’empathie et de sensibilité, et une foi inébranlable en la vie.

En bonne introvertie, je suis complètement nulle avec la petite conversation, « salut, ça va, il fait beau aujourd’hui », et beaucoup plus à l’aise pour disserter sur la vie, l’univers et le reste. J’ai un sens de l’orientation déplorable, et je ne sais pas conduire. Et ce n’est même pas un problème.

Quand j’étais petite, mon livre préféré était Charlie et la chocolaterie. Je le relis encore de temps en temps avec un immense plaisir (Willy Wonka est un entrepreneur qui m’inspire), mais je n’ai pas encore réussi à convertir mon fils de 5 ans.

Je verse toujours une larme à la fin de Bohemian Rhapsody, mais si je devais avoir une « theme song », ce serait Space Oddity.

Pour fêter mon non-anniversaire, je réunirais autour d’un thé à la bergamote et de petits biscuits : Albert Einstein, Freddie Mercury, Hermione Granger, Calvin & Hobbes, Neil Gaiman et Marilyn Monroe.

Le mot de la fin, je le laisse à William Ernest Henley et à son Invictus, qui m’ont portée à travers bien des nuits noires. Aujourd’hui encore, quand je suis en proie au doute, je me répète : « je suis le maître de mon destin, je suis le capitaine de mon âme ».

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